top of page

Do you speak social selling ?

Social what ? Ah, social selling !



Instagram, Facebook, Twitter, YouTube, Pinterest, Snapchat, LinkedIn… Autant de plateformes qui accordent au social selling plusieurs atouts :

  1. Une nouvelle visibilité qui permet la multiplication des contacts ;

  2. Un support de prospection différent ;

  3. Le développement de modes de ventes supplémentaires.

Avantage, la méthode s’adresse à tous. Guère besoin d’être un commercial pour la pratiquer. De quoi redistribuer les cartes. exit la représentation commune du professionnel chargé de susciter l’intérêt de l’acheteur par des méthodes éventuellement brutales et souvent douteuses. Le social selling consiste à attirer les publics avec douceur, à travers une démarche complètement assimilée aux réseaux sociaux. Il s’agit de solliciter, et de capter naturellement l’attention. Bien sûr, la transposition est à considérer sérieusement : il faut s’adapter aux problématiques du marché et aux utilisateurs. La démarche ne tend plus à assister l’utilisateur ou à lui dicter sa conduite mais à encourager son autonomie, à l’inspirer. La grande majorité de l’audience recherchée sera présente sur au moins un réseau social. Le tout est de miser sur le(s) plus pertinent(s) et d’y proposer un contenu fiable et à forte valeur ajoutée. Seule une base solide permettra le développement d’une véritable communauté, avec lequel entretenir un fondamental lien de confiance.

Trucs et astuces !

Pour tirer le meilleur parti des réseaux sociaux, il est essentiel de bien connaitre leur gamme de fonctionnalités. C’est là qu’intervient le community manager (CM). Son rôle ?

  1. Réaliser une veille continue ;

  2. Établir son propre réseau ;

  3. Disposer de recommandations ;

  4. Interagir de façon qualitative avec sa communauté ;

  5. S’intéresser aux autres et s’y connecter ;

  6. Organiser des stratégies ambassadeurs & marques.

Autant de points qui garantissent la présence effective de la marque et permettent de mesurer son efficacité en termes d’impressions. Entre autres outils de veille et de community management : Hootsuite, Feedly, Sociallymap, Linkedin, Buffer Progressivement, il s’agit de se rendre indispensable, tout en signifiant à l’utilisateur qu’il est au centre du système, qu’il en reste l’acteur principal. La stratégie mise en place doit être principalement destinée à le séduire. L’expérience doit être personnalisée. Les gens ont besoin d’être surpris, potentiellement de découvrir des solutions à des problèmes qu’ils ignoraient. Le parcours d’achat est susceptible d’être appréhendé par une stratégie en trois étapes :

  1. Prise de conscience du problème, l’étape ou la personne doute encore d’un quelconque besoin et d’une possible solution à son problème ;

  2. Analyse des solutions, différentes issues se présentent à lui, il les prend en compte ;

  3. Prises de décisions, finalement la décision était déjà prise !

Ce qu’il faut en retenir

Il existe une multitude de stratégies différentes en matière de social selling. Pour évaluer la plus pertinente, placez l’utilisateur au centre de votre réflexion. Les réseaux sociaux le permettent, c’est en cela qu’ils diffèrent des campagnes classiques.


  1. Familiarisez vous avec les réseaux et avec leurs cibles ;

  2. Misez sur l’inbound marketing ;

  3. Développez le storytelling ;

  4. Axez vos campagnes sur le personnal branding.

Et lancez-vous !

Pour plus d’informations concernant le social selling, n’hésitez pas à contacter nos experts !

bottom of page